VéGéSTATION

Tessa Han (Harvard), Oliver Hansen (Harvard), Estelle Murail (SciencesPo), François Sacquin (CRI)

 
 
 

Paris, comme un organisme vivant, dispose pour respirer, d’autant d’alvéoles pulmonaires que d’espaces végétalisés. Du fait de la forte concentration en activités humaines, l’arbre respiratoire de la ville est fortement sollicité par la présence de polluants dans l’air. Si la mairie de Paris entreprend des actions volontaristes pour remédier à ce problème de santé publique en surface, le métro reste un espace saturé en micro-polluants. Notre projet vise à améliorer la santé et élever le niveau de bien-être des 4 millions d’usagers quotidiens du métro à Paris et, potentiellement, des 150 millions de passagers par jour dans le monde.

 
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Pour cela, nous voulons faire du réseau de métro parisien, le premier réseau lymphatique urbain capable d’épurer l’air de ses polluants, par phytoremédiation. Chaque station, véritable noeud lymphatique sous-terrain, serait progressivement équipée, d’une part de capteurs connectés mesurant la qualité de l’air en temps réel et, d’autre part, de murs végétalisés dont la densité de biomasse serait ajustée en fonction du niveau de pollution locale. 

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Par ailleurs, la présence de végétation au sein du métro parisien contribuerait à améliorer le bien-être des usagers, en favorisant un bon équilibre émotionnel et cérébral, notamment résistance au stress, performances cognitives et créativité.

 

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